dimanche 21 novembre 2010

Eteignez la télé, courez aux Rapatonadas !

Les Rapatonadas (prononcer Rapatounades, du nom de ce petit diable farceur très présent dans le conte occitan : le Rapaton) célèbrent leur 30e anniversaire ! La fête du conte et de l'oralité, initialement organisée à Aurillac, est aujourd'hui décentralisée dans le département, ce qui profite cette année à Allanche, Polminhac, Le Falgoux, Naucelle, Arpajon-sur-Cère et Mourjou. Du 23 au 28 novembre, l'on pourra donc assister dans ces communes à divers spectacles de conte mêlant parfois d'autres formes d'expression comme le chant, le slam, la musique, le théâtre ou la vidéo...
Proposé à l'initiative de l'IEO (Institut d'Etudes Occitanes) du Cantal, ce rendez-vous vise à promouvoir le patrimoine oral dans sa diversité en favorisant les rencontres entre conteurs et spectateurs. Qu'on se le dise, ce festival est diablement chouette !

http://rapatonadas.unblog.fr/

samedi 20 novembre 2010

Daniel Brugès nous conte les Mystères du Cantal

Artiste peintre, illustrateur et écrivain passionné par la ruralité, la littérature et l'art en général, le cantalien (de Neuvéglise) Daniel Brugès est un véritable touche-à-tout qui rencontre dans chacune de ces disciplines un véritable succès.


Il vient de publier aux éditions De Borée son vingtième ouvrage, intitulé "Les Mystères du Cantal", disponible auprès de toutes les librairies, maisons de la presse et grandes surfaces. Ce livre, composé de plus de 430 pages et d'une trentaine de photos en noir et blanc, relate des histoires troublantes, surprenantes et... Mystérieuses, nous conduisant dans les domaines de l'insolite, de l'étrange, du crime ou de l'extraordinaire !

Sans prétention aucune, l'auteur cherche simplement à plaire à ses lecteurs en leur racontant ses histoires. Daniel Brugès est resté simple, et possède une qualité que tous les auteurs n'ont pas : il est très sympathique et avenant ! Il sera en dédicace dimanche 21 novembre à la Fête du livre de terroir de Pierrefort, lundi 22 novembre (18 h 30) à l'IUFM d'Aurillac le temps d'une conférence pour l'Université Inter-âges de Haute-Auvergne, puis les samedi 22 et dimanche 23 novembre à la Fête du livre de Blanzat (Puy-de-Dôme).

mardi 9 novembre 2010

Le tome 5 de Louis le Galoup est disponible

Le tome 5 de la saga Louis le Galoup, intitulé "Le Coeur de Tolosa", sera disponible à partir du 18 novembre, pour le plus grand plaisir des aficionados de la littérature fantastique et de Jean-Luc Marcastel. L'auteur, qui était invité au Salon du Livre de Brive ce week-end, sera en dédicace ce samedi à la librairie Point Virgule, à Aurillac.


Louis le Galoup, tome 5 : Le Coeur de Tolosa
Jean-Luc Marcastel (illustrations Jean-Mathias Xavier)
Editions Nouvel Angle

"Sous cette aventure médiévale à couper le souffle, superbement écrite, se cache une série d'intérogations éssentielles"
Clara Dupont-Monod (Marianne)

"Ce qui plait aux plus grands : le style, savoureux, tellement proche de l'oralité des contes de la veillée..."
Laetitia Théodore (France 3)

jeudi 4 novembre 2010

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depuis mercredi

mercredi 3 novembre 2010

Le prix Fémina pour Patrick Lapeyre !



Un roman délicat sur les affres de l'amour est récompensé par le jury constitué exclusivement de femmes.






Patrick Lapeyre, pour son livre La vie est brève et le désir sans fin (P.O.L.), s'est vu décerner hier le Prix Fémina 2010. Il l'a emporté au sixième tour de scrutin par 7 voix contre 6 à Qu'as-tu fait de tes frères ? de Claude Arnaud (Grasset). Les deux finalistes ont été départagés par la double voix de la présidente du jury qui était cette année Chantal Thomas.
Né en 1949 à Paris mais d'origine cantalienne (son père est né et à a grandi à Saint-Mamet), Patrick Lapeyre avait déjà publié six romans, le dernier (L'homme soeur) ayant reçu le Prix du Livre Inter en 2004. Les liens affectifs entre l'écrivain et le Cantal sont bien réels puisque l'intéressé retourne souvent dans le département, et plus précisément du côté de Jussac. « Mon attachement à cette terre est viscéral. J'aime les gens de ce pays, j'aime écrire ici. Quand je vous le dis, vous comprenez que cela n'a rien d'une pose de Parisien, mais tient à des souvenirs lointains, profonds. À cette mémoire ancienne de l'enfance. »